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Paris Drouot, 8 juin 2016 à 14h, vente SOUVENIRS HISTORIQUES, expert : Xavier Dufestel, 01.42.60.59.39
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Drouot-Paris, vente historique le 8 juin 2016, clôture du catalogue le 8 mai 2016, expert : Xavier Dufestel – 01.42.60.59.39
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Les enchères s’envolent à Drouot pour le portrait du duc de Montpensier et le service en porcelaine de Sèvres du château de Randan.
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La vente historique – dont le catalogue était rédigé par l’expert spécialiste des Orléans : Monsieur Xavier Dufestel – s’est déroulée à Drouot Paris ce vendredi 13 juin 2014 et a de nouveau réservé d’exceptionnelles batailles d’enchères.
Ainsi, 43 750 € étaient déboursés par une personnalité du Gotha pour le portrait historique du prince Antoine d’Orléans, duc de Montpensier, commandé en 1846 par le roi Louis-Philippe au peintre Franz Xaver Winterhalter et à son atelier pour le ministre du bey de Tunis, Sidi Mahmoud Ben Ayed.
Quant aux 94 pièces en porcelaine de Sèvres commandées par le roi Louis-Philippe pour le château de Randan, elles étaient en partie préemptées par l’Etat français pour le domaine royal de Randan et totalisaient un résultat sans précédent : 104 500 €. Pour mémoire, 106 pièces du même service, et d’égale importance, furent adjugées sur le marché de l’art il y a moins de deux ans pour la somme de 20 312 € (29-30 nov. 2012, sale 2601 : http://www.christies.com/
Les assiettes commandées en 1846 à la manufacture de Sèvres par le roi Louis-Philippe pour le pavillon de Breteuil, situé dans le parc du château de Saint-Cloud, trouvaient preneur à 3 750 € la paire.
Les quatre dessous de bouteilles du roi Louis-Philippe, en métal argenté par Charles Christofle, partirent pour un total de : 1 875 €.
Une bouteille au monogramme d’Henri d’Orléans, duc d’Aumale, atteignait : 1 250 €.
Le portrait du roi Louis XIV de l’atelier de Hyacinthe Rigaud était adjugé : 5 375 €.
Le bracelet orné d’une miniature représentant le prince de Joinville enfant était remporté pour : 4 000 €.
Le sceau du prince Antoine d’Orléans, duc de Montpensier, atteignait 2 750 € et celui du prince impérial : 3 500 €.
Une melonnière en porcelaine de Sèvres du service de l’empereur Napoléon III culminait à : 3 375 €.
Le service à thé et à café en argent par Odiot et Prévost (1894-1906), provenant de la duchesse de Guise et de feu Madame la comtesse de Paris (1911-2003), produisait : 10 625 €.
La tapisserie bruxelloise du début du XVIIe siècle représentant Le Rêve de Decius Mus, d’après Pierre-Paul Rubens et provenant des collections d’Alexandre-François de La Rochefoucauld, était adjugée à : 13750 €.
Le bureau du roi Fouad Ier d’Egypte était acquis pour la somme de : 88 750 €
Le portrait de l’impératrice Maria-Féodorovna de Russie, d’après Alexandre Roslin, était prisé à : 7 500 €.
Le bureau du roi Fouad Ier d’Egypte, adjugé : 88 750 €.
LE CATALOGUE DE LA VENTE HISTORIQUE DU 13 JUIN 2014 EST EN LIGNE. EXPERT : MONSIEUR XAVIER DUFESTEL
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Vente d’importants souvenirs royaux à Drouot Paris le 13 juin 2014
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Gazette Drouot, édition du vendredi 25 avril 2014.
Souvenirs historiques et collections royales avec l’expertise de Xavier Dufestel, spécialiste : des enchères et des résultats qui font référence.
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VENTE HISTORIQUE : DES RESULTATS AU SUCCES RETENTISSANT
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Succès retentissant que les résultats de la vente historique qui a eu lieu à Drouot Paris le lundi 2 décembre 2013, sous la direction de l’expert de la vente : Xavier Dufestel, spécialiste des Orléans, et la maison de ventes aux enchères, Delorme & Collin du Bocage, dirigée par Maître Olivier Collin du Bocage, commissaire-priseur, à Drouot Paris.
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Drouot Paris, 2 décembre 2013 : vente de souvenirs royaux provenant des descendants de la famille d’Orléans et d’autres maisons royales et aristocratiques. Expert : Xavier Dufestel
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Consultez le catalogue en ligne
Collier provenant de la duchesse de Vendôme & de la princesse Marie-Louise d'Orléans, composé de 465 perles fines (attestées par certificat LFG n°300378 daté du 19/11/2013), en chute sur cinq rangs, agrémenté d'un fermoir en argent doublé or 14 k, à cliquet probablement rapporté, orné d'un saphir cabochon rehaussé de diamants taille ancienne et de roses diamantées. Travail de la seconde moitié du XIXe siècle. Poids brut : 58 g. ; Long. 36,5 cm. Ce collier à cinq rangs de perles fines est un des rares témoignages de l'écrin de la princesse Henriette de Belgique (1870-1948), duchesse de Vendôme, que sa fille aînée, la princesse Marie-Louise d'Orléans (1896-1973), conservait encore précieusement dans le tiroir secret du bureau de sa chambre à coucher à la fin de sa vie.
Lot. 122 : l’identification de ce médaillon est fondée sur une analyse approfondie de la miniature peinte de l’œil, le prénom Philippe est gravé à l’intérieur et on retrouve ses initiales sur l’acrostiche formé par les pierres serties sur la face extérieure, détail amusant que les joailliers Marie-Etienne Nitot et François Regnault-Nitot ont remis à la mode, dès le Ier empire, avec l’impératrice Marie-Louise, mais qui n’apporte rien à l’élément essentiel qui fonde l’intérêt de ce bijou, à savoir : l’identification du modèle, puisque son prénom et la date 1843 sont gravés à l’intérieur. Dans la famille d’Orléans en 1843, seuls deux petits-fils du roi Louis-Philippe se prénommaient Philippe : le comte de Paris (1838-1894) et le comte de Flandre (1837-1905), le prince Gregory de Bourbon est un descendant du comte de Flandre et non du comte de Paris, de plus les sourcils blonds et la mèche blonde figurés sur la miniature de l’œil, sont deux détails physiques communs au visage du comte de Flandre qui avait les cheveux longs et blonds, ce qui n’était pas le cas du comte de Paris. Par conséquent, ces trois éléments fondent avec certitude l’identification de l’œil comme étant celui du comte de Flandre.

Les lots 74 à 89 : présentés comme "napperons", étaient à l'origine des mouchoirs pour certains d entre eux, le parti a cependant été pris de les présentés comme des napperons, en rapport avec l'usage qu'on peut en faire aujourd'hui et qu'en fit la princesse Marie-Louise d'Orléans au XXe siècle.